« JE » d’enfant.
Tourne, tourne, le temps passe
Mais tu restes de glace
Toi, l’enfant infini
Qui respire la Vie.
L’innocence et le jeu,
La légèreté, le joyeux
Gomment tous les écarts
Que les adultes se contentent de voir.
Par ton œil acéré
De tant de pureté
Tu es vraiment touché
Par tout ce qui est Vrai .
Seuls l’Amour et la Joie
Accompagnent tes pas
Et ouvre l’infini
Des possibles de la Vie.
Veux-tu leur rappeler
Aux adultes agacés
Que quelque part en eux
Réside l’enfant joyeux ?
Marie-Françoise Courtade Bonnefoy.